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    1. Hypothèses 2023 d’évolution à long terme des marchés de capitaux (LTCMA)

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    ltcma-2023-h5-v4

    Hypothèses 2023 d’évolution à long terme des marchés de capitaux (LTCMA)

    Cette 27ème édition annuelle explique pourquoi la baisse des valorisations et la hausse des rendements de ces derniers mois permettent aux marchés d’offrir aujourd’hui le potentiel de performance à long terme le plus important depuis 2010. Après une année de turbulences et la disparition de certaines anomalies de marché, les prévisions relatives aux performances des différentes classes d’actifs se rapprochent de leur équilibre de long terme, un juste retour à la normale.

    Téléchargez le rapport complet (en anglais)*

    Synthèse (en français) Matrices (en anglais)* Perspectives thématiques(en anglais)
    Synthèse (en français)

    Le recul enregistré par les marchés en 2022 crée un point d’entrée particulièrement intéressant pour les investisseurs à long terme.

    Retour aux fondamentaux

    Étant donné l’ampleur de la baisse des valorisations et de la hausse des rendements observée en 2022, les marchés de capitaux offrent aujourd’hui les performances à long terme les plus intéressantes depuis plus de dix ans. Certes, il aura fallu une pénible chute des marchés actions et obligataires pour en arriver là, et le pire n’est peut-être pas encore derrière nous.

    Mais après une année de turbulences, les principes fondamentaux qui régissent l’investissement restent intacts. Le principe d’une répartition 60/40 constitue à nouveau la base des portefeuilles, tandis que les solutions alternatives sont à la fois source d’alpha, de protection contre l’inflation et de diversification. Par ailleurs, la fin de l’ « argent gratuit », l’augmentation du risque bidirectionnel lié à l’inflation et aux politiques monétaires, ainsi que la plus grande dispersion des performances entre les actifs, donnent aux gérants actifs davantage de pistes à explorer.

    À court terme, les investisseurs seront confrontés à une période difficile, car une récession, ou du moins plusieurs trimestres de croissance inférieure à la tendance se profilent à l’horizon. Notre évaluation de la croissance tendancielle à long terme n’est toutefois que légèrement inférieure à celle de l’année dernière. Selon nous, la poussée inflationniste actuelle devrait finir par se résorber pour atteindre un taux à peine supérieur à nos estimations précédentes.

    Retour à la normale sur les marchés obligataires, envolée des prévisions sur les marchés actions

    Notre prévision de performance annualisée pour un portefeuille actions-obligations 60/40 en USD sur les 10-15 prochaines années est passée de 4,30 % l’année dernière à 7,20 %.

    Après la normalisation rapide des taux directeurs, les obligations ne semblent plus être les éternelles perdantes. Elles constituent à nouveau une source crédible de revenus et de diversification. La hausse des taux sans risque a aussi pour effet d’améliorer les prévisions de performance du crédit.

    Les projections de performance des actions augmentent fortement. En devises locales, nos prévisions concernant les actions des marchés développés augmentent de 340 points de base (pb), à 7,80 %, et celles des marchés émergents de 230 pb, à 8,90 %. Les marges bénéficiaires des entreprises diminueront probablement par rapport aux niveaux actuels, sans pour autant revenir totalement à leur moyenne de long terme.

    Pour les actions comme pour les obligations, les valorisations actuelles constituent un point d’entrée intéressant. Les solutions alternatives offrent toujours des avantages (diversification, réduction du risque) qu’il est difficile de trouver ailleurs. Le dollar américain est aujourd’hui plus surévalué qu’il ne l’a jamais été depuis les années 1980, si bien que la conversion en devises sera une composante importante des prévisions de performance.

    Raréfaction des capitaux, hausse de la demande d’investissements en capital

    La plupart des thèmes à long terme qui influencent nos perspectives (tendances démographiques, changements des modèles de mondialisation) exigeront une augmentation des investissements en capital, et ce, paradoxalement, au moment même où l’abondance de capitaux bon marché de la dernière décennie commence à se résorber. Dans la mesure où les marchés financiers cherchent à allouer efficacement des capitaux rares, cela pourrait se traduire par des performances plus spécifiques et des corrélations plus faibles au sein des indices.

    Dans l’ensemble, les perspectives de performance présentées dans les Hypothèses d’évolution à long terme des marchés de capitaux de cette année contrastent fortement avec celles de l’année dernière. Les obstacles liés aux faibles rendements et aux valorisations élevées se sont dissipés, voire inversés, et les prévisions de performance des différentes classes d’actifs semblent « revenir à la normale ».

    Réinitialisation des actifs, point d’entrée intéressant

    Il aura fallu une véritable réinitialisation des marchés de capitaux pour que nous en arrivions là, et de considérables difficultés pour les porteurs d’obligations sur un horizon beaucoup plus court que ce que nous avions prévu. Pour autant, les modèles sous-jacents de croissance économique semblent stables, et les hypothèses sur lesquelles reposent les performances des actifs — taux réels au comptant indépendants du cycle, pente de la courbe des taux, taux de défaut et de recouvrement, et prévisions de marge — n’ont guère changé.

    Mais le recul observé sur les marchés en 2022 crée aujourd’hui un point d’entrée particulièrement intéressant pour les investisseurs à long terme. Si l’année 2022 fut particulièrement éprouvante en raison de la disparition brutale de certaines anomalies présentes sur le marché depuis longtemps, les investisseurs peuvent désormais envisager des performances futures à des niveaux beaucoup plus intéressants.

    « Après une année de turbulences, les principes fondamentaux qui régissent l’investissement restent intacts. Le principe d’une répartition 60/40 constitue à nouveau la base des portefeuilles, tandis que les solutions alternatives sont à la fois source d’alpha, de protection contre l’inflation et de diversification. »

    Matrices (en anglais)*

    Nos prévisions de performances, de volatilités et de corrélations. Grâce à la version interactive, vous pouvez télécharger le tableau Excel dans la devise de votre choix.

    Matrices d’hypothèses

     

    Ces hypothèses ne sont pas destinées à orienter les décisions d’allocation tactique à court terme. Elles sont élaborées selon un processus soigneusement calibré et sont conçues pour aider les investisseurs à prendre des décisions stratégiques en matière d’allocation d’actifs ou de politique d’investissement sur un horizon de placement de 10 à 15 ans.

    Nos hypothèses peuvent être utilisées pour :

    • Élaborer ou revoir une allocation d’actifs stratégique

    • Comprendre les couples risque/rendement entre et au sein des différentes classes d’actifs et zones géographiques

    • Évaluer les caractéristiques de risque d’une allocation d’actifs stratégique

    • Revoir les décisions d’allocation en valeur relative

    Téléchargez les matrices par devise (en anglais)*

    • Dollar américain
    • Livre sterling
    • Euro
    Perspectives thématiques(en anglais)

    Ces articles abordent des questions susceptibles d’avoir un impact profond et durable sur le panorama mondial de l’investissement.


    La mondialisation va évoluer, sans toutefois disparaître

     

    Principaux points

    • La démondialisation n’est pas inévitable. Nous nous attendons à un monde multipolaire dans lequel des blocs commerciaux se rapprochent sur le plan politique.

    • Alors que la mondialisation évolue, l’intensité du commerce de marchandises devrait diminuer. Mais les services pourraient prospérer dans une économie mondiale plus virtuelle.

    • Comme dans tout environnement de rupture, il y aura des gagnants et des perdants — autrement dit de nouvelles opportunités et de nouveaux risques — à mesure que les investisseurs s’adapteront et réagiront au changement.

    La mondialisation — l’ère d’une intégration économique de plus en plus marquée — est-elle sur le point de s’inverser ? Nous ne le pensons pas.

    Selon nous, la mondialisation ne va pas disparaître, mais elle va évoluer. Le spectre des scénarios susceptibles d’en résulter est très large. Le plus probable est celui d’un monde multipolaire dans lequel les blocs commerciaux se rapprochent sur le plan politique. Dans l’ensemble, l’économie mondiale pourrait devenir moins efficace.

    L’évolution précise de la mondialisation dépendra probablement du rôle de l’innovation et de l’automatisation, de la croissance de la demande sur les nouveaux marchés, ainsi que de la montée (ou du déclin) du nationalisme et de l’évolution de la réglementation sur le climat, la fiscalité et les données.

    Il y aura des gagnants et des perdants par zone géographique et par secteur d’activité. Par exemple :

    • Les économies fondées sur les bas salaires, qui ont tiré le plus grand profit de décennies de mondialisation, semblent les plus menacées. Celles qui n’ont pas encore pris part à cette croissance alimentée par les exportations pourraient voir leur développement freiné.

    • Une plus grande régionalisation, à mesure que les chaînes d’approvisionnement se diversifient et que la production se rapproche de la demande, profiterait à l’Asie et à ses consommateurs de plus en plus riches.

    Le secteur des services passe au premier plan

    Alors que la mondialisation évolue, l’intensité du commerce de marchandises devrait diminuer. Mais les services pourraient prospérer dans une économie mondiale plus virtuelle. Les industries de services devraient bénéficier d’investissements dans une main-d’œuvre qualifiée et dans des technologies permettant d’économiser de la main-d’œuvre. Des économies telles que l’Inde et les Philippines, avec une importante population anglophone et des infrastructures développées, pourraient également en profiter et attirer davantage de capitaux étrangers.

    S’il est possible que la réglementation se durcisse dans le secteur technologique en général, certaines entreprises technologiques bénéficieront d’une nouvelle demande. L’émergence de la « souveraineté numérique » en tant que question de sécurité nationale devrait se traduire par une augmentation des dépenses en matière de cybersécurité. Avant même l’invasion de l’Ukraine par la Russie, on estimait que les dépenses de cybersécurité dépasseraient les 200 milliards USD d’ici 2024, soit une hausse de 43 % par rapport à 2021.

    Dans la mesure où la menace et le coût des failles de sécurité ne cessent d’augmenter, les entreprises et les gouvernements sont fortement incités à investir dans la protection. De même, le secteur de la défense pourrait bénéficier d’un contexte mondial plus tendu et fragmenté.

    Parallèlement, la robotique et l’automatisation devraient occuper une place de plus en plus prépondérante et de moins en moins onéreuse, pour remplacer les travailleurs, dans un monde où l’accès à une main-d’œuvre faiblement rémunérée devient plus limité. Selon nous, cette tendance devrait se poursuivre, puisque le vieillissement démographique dans les pays développés réduit encore l’offre de main-d’œuvre et que la production se déplace pour répondre à la croissance de nouveaux marchés.

    Évolution du rôle de la Chine et de ses relations avec les autres pays

    Quel rôle la Chine jouera-t-elle dans l’évolution de la mondialisation ?
    La Chine semble de plus en plus exposée au risque de voir ses échanges commerciaux avec le reste du monde se réduire à la suite d’une série de mesures prises par les gouvernements américain et européens visant à réglementer et à limiter leur dépendance à son égard. Dans un tel scénario, d’autres économies pourraient en tirer des avantages. La hausse des salaires en Chine a déjà profité à l’ensemble de la région asiatique, puisque la production s’est déplacée vers des marchés aux coûts relativement plus faibles, proches de la source de la demande finale.

    Le passage à une plus grande diversification des chaînes d’approvisionnement pourrait accélérer cette tendance, notamment pour les fabricants de produits de consommation tels que les textiles et le matériel technologique. Cela pourrait également favoriser les investissements dans les infrastructures.

    Les investisseurs s’adaptent au changement

    L’économie mondiale a sans conteste profité de 70 ans d’une mondialisation croissante. Nous tablons sur une reconfiguration, plutôt que sur un retour en arrière. À bien des égards, il s’agira d’un environnement de rupture, qui offrira de nouvelles opportunités et de nouveaux risques tandis que les investisseurs s’adapteront et réagiront au changement.

    Téléchargez le rapport complet (en anglais)*


    Tendances démographiques et destinées : Les défis et les opportunités d’une planète de 10 milliards d’habitants

     

    Principaux points

    • La croissance mondiale de la population soulève des défis considérables et offre autant d’opportunités. Pour les investisseurs, les éléments importants sont : l’impact de la démographie sur la croissance économique, les modes de consommation, les besoins en infrastructures et l’utilisation de ressources limitées.

    • Les pays ne sont pas tous assurés de bénéficier d’un dividende démographique. Selon nous, le cadre politique sera un facteur de différenciation. Nous avons créé un ensemble de critères d’évaluation pour aider à sélectionner les économies dotées de politiques gouvernementales et d’entreprises efficaces.

    • Pour faire face au fardeau que la croissance démographique fait peser sur la planète, il faudra investir à temps. Des opportunités d’investissement existent dans les infrastructures vertes, les technologies agricoles, les sources alternatives de protéines et la reforestation.

    D’ici la fin du siècle, la population mondiale devrait atteindre 10,6 milliards d’habitants, ce qui soulèvera des défis considérables et offrira autant des opportunités. Les économies « plus jeunes » qui comptent une proportion croissante de personnes en âge de travailler (15-64 ans) ont toutes les chances de bénéficier d’un dividende démographique — soit une croissance économique plus rapide — que les économies comptant une forte proportion d’adultes plus âgés. C’est en Afrique subsaharienne, au Moyen-Orient et dans certaines régions d’Asie que la population en âge de travailler connaît la croissance la plus rapide.

    Pour les investisseurs, l’impact de ces données démographiques sur la croissance économique, les modes de consommation, les besoins en infrastructures ainsi que sur les récoltes et l’utilisation des ressources limitées est fondamental.

    Une réussite économique fondée sur la seule démographie est toutefois loin d’être garantie. Quelles sont les jeunes économies qui semblent prêtes à bénéficier d’un dividende démographique ?

    Selon nous, une politique efficace sera le premier facteur différenciant. Les pays disposant de solides cadres de gouvernance tant sur le plan de la politique nationale que sur celui des entreprises, d’infrastructures durables et d’une bonne intégration dans les chaînes d’approvisionnement mondiales seront probablement les grands gagnants.

    Les risques encourus pourraient être importants en l’absence de ces différents éléments. Les économies qui n’investissent pas suffisamment dans leur main-d’œuvre toujours plus importante en âge de travailler, qui ne construisent pas d’infrastructures suffisantes (à temps) et qui ne veillent pas à une utilisation durable de leurs ressources naturelles pourraient devoir faire face à des conséquences désastreuses.

    Nous avons créé des ensembles de critères d’évaluation qui regroupent certains des principaux indicateurs politiques. Combinés, nos quatre ensembles de critères permettent une approche multidimensionnelle susceptible d’aider les investisseurs à décider dans quels pays ils peuvent tirer le meilleur parti de la croissance démographique.

    La question des inégalités de revenus est évidemment un enjeu majeur. Cependant, les opportunités d’investissement pour répondre aux besoins des jeunes consommateurs devraient être nombreuses dans les économies les plus jeunes et présentant un score élevé à nos ensembles de critères. L’augmentation du nombre de jeunes ménages dans ces économies devrait stimuler la croissance de la consommation de vêtements, de services éducatifs et de transports.

    Mais la croissance de la population entraîne par ailleurs une utilisation plus intensive de l’énergie, de l’eau, de la nourriture, des écosystèmes et des infrastructures. Pour atténuer le fardeau inévitable qui pèse sur la planète, il faudra investir suffisamment et rapidement dans des solutions durables. Les solutions à ces défis offrent des opportunités d’investissement passionnantes, qu’il s’agisse de repenser les infrastructures, de redéfinir les habitudes de consommation d’énergie et de nourriture, ou encore de miser sur une utilisation plus durable des sols, de l’agriculture et de la sylviculture. Parmi ces thèmes, nous pouvons retrouver les infrastructures vertes, les technologies agricoles durables, les sources alternatives de protéines et la reforestation.

    Nos critères d’évaluation :

    • Évaluation top-down : Mesure les principales politiques et institutions souveraines (État de droit, liberté économique, éducation et autres). Des résultats élevés peuvent être le signe d’obligations souveraines et de devises intéressantes. L’Inde, le Vietnam, la Malaisie, l’Afrique du Sud, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis (EAU) sont de ce point de vue prometteurs.

    • Évaluation bottom-up : Rend compte de la gouvernance d’entreprise. Des notes élevées peuvent refléter le caractère attrayant d’un investissement en actions et en crédits. La Malaisie et l’Afrique du Sud obtiennent de bons résultats dans ce domaine.

    • Évaluation du rapport migration-productivité : Reflète la capacité d’une économie à tirer parti des tendances migratoires. Le Canada, le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Allemagne et la France, qui obtiennent des notes élevées, sont susceptibles de connaître une croissance supérieure à ce que leur démographie seule semblerait indiquer.

    • Évaluation du rythme de la transition énergétique : Montre la trajectoire possible des énergies vertes dans différentes économies. Le Kenya, le Vietnam et les Émirats arabes unis sortent ici du lot.

    Enfin, les capitaux privés vont devoir compléter les initiatives publiques pour libérer le dividende démographique potentiel des jeunes économies de la manière la plus durable possible. Dans un contexte de taux plus élevés, une politique efficace sera essentielle pour attirer des financements devenus plus rares, ce qui créera des gagnants et des perdants pour les investisseurs.

    Téléchargez le rapport complet (en anglais)*


    Téléchargez la synthèse en français

    ltcma-2023-d1

     

    Hypothèses 2023 d’évolution à long terme des marchés de capitaux (LTCMA)

    Téléchargez le rapport complet (en anglais)*

     

    Cette communication commerciale et les opinions qu'elle contient ne constituent en aucun cas un conseil ou une recommandation en vue d'acheter ou de céder un quelconque investissement ou intérêt y afférent. Toute décision fondée sur la base des informations contenues dans ce document sera prise à l'entière discrétion du lecteur. Les analyses présentées dans ce document sont le fruit des recherches menées par J.P. Morgan Asset Management, qui a pu les utiliser à ses propres fins. Les résultats de ces recherches sont mis à disposition en tant qu'informations complémentaires et ne reflètent pas nécessairement les opinions de J.P.Morgan Asset Management. Sauf mention contraire, toutes les données chiffrées, prévisions, opinions, informations sur les tendances des marchés financiers ou techniques et stratégies d’investissement mentionnées dans le présent document sont celles de J.P. Morgan Asset Management à la date de publication du présent document. Elles sont réputées fiables à la date de rédaction. Elles peuvent être modifiées sans que vous n’en soyez avisé. Il est à noter par ailleurs que la valeur d’un investissement et les revenus qui en découlent peuvent évoluer en fonction des conditions de marché et que les investisseurs ne sont pas assurés de recouvrer l’intégralité du montant investi. La performance et les rendements passés ne préjugent pas forcément des résultats présents ou futurs. Aucune certitude n'existe quant à la réalisation des prévisions.

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