Asset Class Views

Opinions sur l’allocation d’actifs – T2 2025

Asset Class Views

Synthèse

  • La croissance américaine ralentit, mais ne s’interrompt pas. Le PIB devrait s’inscrire légèrement en-dessous de la tendance d’ici la fin de l’année. Nous estimons que la Fed dispose d’une marge de manœuvre suffisante pour réduire rapidement ses taux en cas de forte baisse de la croissance.
  • L’incertitude politique demeure élevée. Les droits de douane sont un risque baissier à court terme, qui pourrait néanmoins être contrebalancé plus tard dans l’année par le risque haussier lié aux baisses d’impôts et à la déréglementation.
  • L’économie américaine est en fin de cycle. Si des mesures de relance pourraient atténuer l’impact des droits de douane dans certaines régions, l’environnement économique actuel incite à la diversification régionale et sectorielle.
  • Au niveau régional, nous privilégions les actions japonaises, britanniques et émergentes, en sous-pondérant l’Australie et le Canada. Aux États-Unis, nous privilégions les valeurs technologiques et financières par rapport à la consommation courante et aux matériaux. Par ailleurs, il nous semble intéressant de détenir des obligations d’État australiennes et italiennes tout en sous-pondérant les obligations d’État japonaises.
  • Sur les actions, nous avons un positionnement globalement neutre, voire légèrement surpondéré. Nous maintenons une surpondération du crédit avec une conviction modérée, accompagnée d’une légère surpondération de la duration.

Incertitude politique et ralentissement de la croissance

Lors de sa conférence de presse à l’issue de la réunion de la Fed du mois de mars, le président de la banque centrale Jerome Powell a mentionné dix fois le mot « incertitude ». Pourtant, malgré une baisse de 10 % du S&P 500 au premier trimestre, le principal indice d’incertitude de Wall Street, le VIX, est resté remarquablement stable. Des changements significatifs dans la politique économique pourraient alimenter l’incertitude des banques centrales et des investisseurs, mais l’économie américaine semble ralentir sans s’interrompre.

Dans nos prévisions pour l’année à venir, nous avions noté que si la nouvelle administration Trump mettait d’abord l’accent sur les baisses d’impôts et la déréglementation, elle pourrait stimuler l’économie et les marchés. En revanche, si elle se concentrait sur l’immigration et les droits de douane, les marchés pourraient avoir plus de mal à résister. La priorité donnée aux droits de douane par l’administration a certainement contribué à faire baisser les prévisions de croissance du consensus. L’économie avait néanmoins déjà commencé à ralentir en raison d’une politique monétaire plus restrictive et d’une atténuation de l’offre de main-d’œuvre.

Notre scénario de base pour l’économie américaine en 2025 prévoit une croissance du PIB à 1,7 % (inférieure à la tendance), avec une inflation sous-jacente de 3,1 % d’ici la fin de l’année. Le risque de récession a légèrement augmenté, passant de 15 % à 20 %. Mais nous estimons que la Fed dispose d’une marge de manœuvre importante pour procéder à de nouvelles baisses de taux, en plus des deux qui étaient prévues pour cette année. Même si la confiance des entreprises est en baisse, la solidité des bilans des entreprises et des ménages accroît la résilience de l’économie.

A travers le monde, le ton agressif de l’administration américaine a suscité de fortes réactions politiques. Le plan de relance budgétaire de l’Allemagne pourrait ajouter plus de 70 points de base au PIB et relancer un secteur industriel en plein marasme. Ces perspectives plus favorables pour l’investissement européen, en particulier les dépenses de défense, pourraient simplement compenser l’incidence négative des droits de douane. Cependant, elles signalent un changement significatif (et attendu de longue date) de la politique budgétaire. Il ne semble pas exagéré d’affirmer que le discours controversé du vice-président J.D. Vance devant les dirigeants européens réunis à Munich en a fait davantage pour l’unité européenne que toute autre intervention politique depuis le discours « whatever it takes » de Mario Draghi en 2012.

La Chine répond elle aussi au discours des droits de douane. L’assouplissement de sa politique monétaire est apprécié dans un contexte de faible inflation. Aussi, la rencontre récente du président Xi avec des chefs d’entreprise marque un changement dans l’attitude du gouvernement envers le secteur privé. Si les mesures politiques prises dans le monde entier visent d’abord à atténuer l’impact des droits de douane, elles pourraient également contribuer à réduire l’écart de croissance entre les États-Unis et le reste du monde en 2025.

Adapter les portefeuilles entre droits de douane et baisses d’impôts

L’incertitude politique pèse avec des risques baissiers liés aux droits de douane, tout en tenant compte des risques haussiers suite aux baisses d’impôts et à la déréglementation (probablement plus tard dans l’année). Nous avons réduit le risque global au sein de nos portefeuilles pour faire face à la volatilité récente, mais aussi en prévision d’un risque exceptionnel supplémentaire lié aux droits de douane. Nous avons un positionnement neutre ou très légèrement surpondéré sur les actions, tout en conservant une conviction plus forte à l’égard de notre surpondération du crédit. La possibilité d’un affaiblissement de la croissance motivant une intervention de la Fed justifie une légère surpondération de la duration. Nos modèles quantitatifs indiquent que les meilleures opportunités se trouvent dans les positions de valeur relative qui exploitent les différentiels de valorisation et de politique monétaire.

Les actions américaines ont perdu un peu de leur excédent de valorisation au premier trimestre, tandis que la surperformance des valeurs défensives reflète l’affaiblissement attendu du PIB. Nous estimons qu’une réduction de 5 à 7 % de la croissance du BPA du S&P 500, liée aux droits de douane, limitera le potentiel de hausse des actions américaines. Nos modèles quantitatifs sont négatifs sur le marché américain en raison du niveau élevé des valorisations, mais les grandes capitalisations technologiques ressortent positivement : avec une prime de valorisation désormais au plus bas depuis 2017 par rapport à l’indice. Elles affichent aujourd’hui de bons scores sur les critères de qualité.

Au niveau mondial, nos marchés de prédilection sont le Japon, le Royaume-Uni et les marchés émergents et l’Australie figurant dans le bas de la liste. Après avoir été le marché le plus performant depuis le début de l’année, l’Europe semble avoir dépassé son potentiel de croissance des bénéfices. Tout en étant optimistes quant à l’évolution de la politique monétaire européenne à plus long terme, nous ne courons pas après les valorisations que nous jugeons tendues à l’heure actuelle.

Aux États-Unis, le ralentissement de la croissance accompagné d’un risque limité de récession est favorable au crédit. Les spreads peuvent sembler serrés, mais les rendements totaux restent attractifs dans le haut rendement (HY) tandis que les fondamentaux du crédit (ratio de couverture des intérêts, par exemple) sont solides. Le faible niveau de défaillances et la forte demande sur les marchés primaires renforcent notre conviction que le crédit affichera de bonnes performances cette année. Nous estimons aujourd’hui que la fourchette de fluctuation des taux des bons du Trésor américain à 10 ans devrait se situer entre 4,50 et 3,75 % et voyons de la valeur dans la duration aux niveaux actuels. Sur les marchés internationaux, nous privilégions l’Australie et l’Italie et conservons une sous-pondération des obligations japonaises en raison des hausses salariales et de la perspective de nouvelles hausses de taux.

Le risque global de notre portefeuille est plus bas que fin 2024, en raison du potentiel de volatilité supplémentaire pendant que les marchés évaluent l’impact des droits de douane. Nous estimons malgré tout qu’à mesure que la trajectoire monétaire se précisera et que les priorités du gouvernement se tourneront vers la politique fiscale et la déréglementation, nous trouverons des opportunités d’ajouter du risque. Si les discussions liées aux droits de douane aboutissent sans entraîner une escalade de représailles commerciales, la confiance pourrait se redresser fortement au deuxième trimestre.

En résumé, nous prévoyons un ralentissement, et non un arrêt de la croissance, estimant que la Fed et les autres banques centrales ont des munitions largement suffisantes pour soutenir l’économie mondiale. Les risques proviennent à nos yeux des conflits commerciaux, d’une éventuelle reprise de l’inflation et d’une politique monétaire potentiellement trop restrictive. Nous avons aujourd’hui un positionnement globalement positif par le biais du crédit et sommes prêts à accroître le risque sur les actions en cas de nouvel accès de faiblesse des marchés boursiers.

Solutions multi-actifs : synthèse et idées clés

La synthèse et les principales idées sont examinées en profondeur au cours de notre comité stratégique. Elles reflètent les analyses fondamentales collectives des gérants et des équipes de recherche au sein de notre groupe Multi-Asset Solutions et forment des perspectives communes sur lesquelles nous revenons et que nous testons régulièrement dans toutes nos discussions sur l’allocation d’actifs. Ces idées nous permettent d’orienter nos allocations et de veiller à ce qu’elles soient reflétées dans l’ensemble de nos portefeuilles.

  • Ralentissement sans effondrement de l’économie américaine. Le cycle économique pourrait se prolonger, avec une croissance légèrement inférieure à la tendance en 2025. Amélioration possible de la croissance mondiale en raison de la réponse monétaire aux menaces tarifaires.
  • L’inflation américaine reste supérieure à l’objectif. La Fed surveille de près les chiffres d’emploi et interviendra en cas de faiblesse. Deux baisses de taux prévues en 2025 et une de plus en 2026.
  • Fourchette de 3,75 à 4,50 % pour les taux américains à 10 ans. Position légèrement longue sur la duration mondiale avec une préférence pour les BTP et l’Australie par rapport aux JGB.
  • Marge limitée de compression des spreads de crédit, mais rendements proches de 8 % dans le haut rendement et taux de défaillance favorable au crédit.
  • Le ralentissement de la croissance accompagné d’une faible probabilité de récession incite à surpondérer le crédit, mais positionnement plus neutre sur les actions, car le risque lié aux droits de douane alimente la volatilité pour le moment.
  • Après correction, les Mag-6 représentent un risque positif pour les indices boursiers américains. Au niveau mondial, préférence pour les actions japonaises, britanniques et émergentes (Hong Kong).
  • Sur l’immobilier, reprise des entrées de capitaux et de la demande, le potentiel de rendement et la protection contre l’inflation sont attractifs.
  • Principaux risques : résurgence de l’inflation, politique monétaire trop restrictive, droits de douane, faiblesse du marché de l’emploi et resserrement brutal des conditions de crédit.

Opinions en matière d’allocation d’actifs

Ces avis par classe d’actifs s’appliquent sur un horizon de 6 à 12 mois. Les flèches vers le haut ou vers le bas indiquent une évolution positive () ou négative () de notre avis depuis le sommet stratégique du trimestre précédent. Ces avis ne doivent pas être interprétés comme une recommandation de portefeuille. La présente synthèse de nos avis par classe d’actifs illustre notre niveau de conviction et nos préférences relatives concernant un large éventail d’actifs, mais reste indépendante de nos considérations de construction de portefeuille.

Classe d’actifsOpportunitésUWNOWChangeConvictionDescription
Principales classes d’actifsActionsActions — NeutralNot applicableLa croissance mondiale se rapproche de la tendance, ce qui soutient la croissance des bénéfices. Les valorisations sont pénalisantes, même avec le cycle d’assouplissement en cours.
Emprunts d’État (duration)Emprunts d’État (duration) — OverweightFaibleLe cycle de baisse des taux limite le potentiel de hausse des rendements, mais la modération du rythme de croissance des États-Unis justifie un avis constructif.
Obligations d’entreprises (crédit)Obligations d’entreprises (crédit) — OverweightNeutralModéréeLa croissance inférieure à la tendance, la solidité des fondamentaux et les rendements totaux attractifs soutiennent le crédit malgré des spreads serrés.
Préférences par classe d’actifsActionsÉtats-UnisÉtats-Unis — NeutralNot applicableLa croissance solide des BPA, alimentée par la tech, et le biais de qualité sont des facteurs favorables. Les valorisations élevées resteront malgré tout un facteur défavorable alors que l’incertitude politique perdure.
EuropeEurope — NeutralNot applicableLe soutien budgétaire renforcé et le programme « Europe d’abord » sont favorables, mais valorisations tendues par rapport au passé et positionnement plus neutre qu’en début d’année.
JaponJapon — OverweightNeutralModéréePerspectives de résultats et révisions favorables sur l’ensemble des régions, valorisations modérées et positionnement limité. Potentiel de hausse lié à la gouvernance des entreprises.
Royaume-UniRoyaume-Uni — OverweightNeutralFaibleLes valorisations attrayantes (surtout par rapport aux autres marchés développés) et le risque limité de droits de douane sont contrebalancés en partie par des fondamentaux et des facteurs techniques mitigés.
AustralieAustralie — UnderweightNeutralModéréeFaible croissance des bénéfices, révisions négatives et valorisations tendues. La faiblesse de la demande de métaux de base pèse sur le secteur minier.
CanadaCanada — UnderweightModéréeFacteurs techniques défavorables et caractéristiques de moindre qualité, avec risque baissier supplémentaire lié à la guerre commerciale avec les États-Unis.
Hong KongHong Kong — OverweightNeutralFaibleLes valorisations peu élevées, l’amélioration des perspectives du secteur technologique et le changement d’attitude à l’égard du secteur privé sont des facteurs favorables. Le soutien budgétaire reste malgré tout réactif et insuffisant.
Marchés émergents (EM)Marchés émergents (EM) — NeutralNeutralNot applicableLes valorisations sont comparativement attrayantes et les taux de rentabilité économique (ERR) s’améliorent. En revanche, la politique commerciale américaine et les sorties de capitaux constituent toujours un risque.
ObligationsBons du Trésor USBons du Trésor US — UnderweightFaibleProcessus de désinflation intact malgré des pressions persistantes sur les prix. Les taux devraient rester dans une fourchette étroite, mais risque à la baisse en raison d’une croissance inférieure à la tendance.
Souv. AllemagneSouv. Allemagne — NeutralNot applicableValorisations plus attrayantes après la récente remontée des taux, mais la réforme du « frein à la dette » et l’augmentation des dépenses militaires conduira à une augmentation structurelle des déficits.
Souv. JaponSouv. Japon — UnderweightNeutralFaibleLes hausses de taux à venir de la Banque du Japon en 2025 et la trajectoire des salaires font peser un risque haussier sur les taux des obligations d’État japonaises (JGB). La valorisation relative apparaît moins attrayante.
Souv. Royaume-UniSouv. Royaume-Uni — NeutralNeutralNot applicableValorisations favorables contrebalancées par des tendances mitigées en matière d’inflation. Il manque un catalyseur pour libérer cette valeur.
Souv. AustralieSouv. Australie — OverweightFaibleValorisations attrayantes, du point de vue notamment du portage et des taux réels. Les derniers chiffres d’inflation laissent entrevoir la possibilité d’un assouplissement monétaire.
Souv. CanadaSouv. Canada — NeutralNot applicableL’activité économique pourrait être en train de passer le creux de la vague alors que les surprises à la baisse de l’inflation s’atténuent. Valorisations relatives peu attrayantes et facteurs techniques défavorables.
Souv. Italie (BTP)Souv. Italie (BTP) — OverweightNeutralFaibleLa baisse des taux de la BCE devrait être favorable aux obligations des pays périphériques, car les valorisations sont justes. Le volume plus élevé d’émissions depuis le début de l’année a été bien absorbé.
Crédit IGCrédit IG — OverweightFaibleBonne santé des entreprises et demande de portage de qualité, spreads serrés. L’attrait du portage par rapport aux obligations souveraines persiste.
Crédit HYCrédit HY — OverweightNeutralModéréeLe risque limité de récession et la solidité des fondamentaux et des facteurs techniques sont des facteurs positifs. Les spreads sont serrés, mais les rendements totaux sont attrayants.
Souv. EMSouv. EM — NeutralNeutralNot applicablePréférence pour le crédit HY américain par rapport à la dette souveraine EM, en raison d’une exposition plus importante à des risques extrêmes dans la dette EM et des incertitudes liées à la politique commerciale américaine.
DevisesUSDUSD — NeutralNot applicableLe portage reste attrayant, mais les signaux macroéconomiques se sont dégradés. L’USD apparaît chers et les contre-courants politiques ne sont pas aussi positifs qu’on pouvait le penser initialement.
EUREUR — OverweightFaibleAbordable en termes de PPP, tandis que les différentiels de croissance pourraient devenir plus favorables. Les facteurs techniques s’améliorent en raison de la dynamique récente des actions.
JPYJPY — UnderweightFaibleLa Banque du Japon est la seule grande banque centrale qui relève ses taux, mais on ne sait pas quelle est la donnée qui pourrait à elle seule pousser le Yen à la hausse. Positionnement toujours élevé.
CHFCHF — UnderweightNeutralModéréeLes valorisations comme les fondamentaux sont défavorable. La BNS reste favorable à un affaiblissement de la monnaie pour atténuer les risques de désinflation.

Source : J.P. Morgan Asset Management Multi-Asset Solutions. Avis basés sur les informations et les données disponibles en date de mars 2025. Informations fournies à titre purement indicatif.

La diversification ne constitue pas une garantie de rendement des investissements et n’élimine pas le risque de perte. La diversification entre différentes options de placement et catégories d’actifs peut contribuer à réduire la volatilité globale.

Multi-Asset Solutions

L’équipe Multi-Asset Solutions gère plus de 285 milliards de dollars d’actifs en s’appuyant sur l’expertise et les capacités d’investissement inégalées de J.P. Morgan Asset Management. Notre recherche et nos analyses dans le domaine de l’allocation d’actifs constituent le fondement de notre processus de gestion. Ce dernier est soutenu par une équipe de recherche mondiale composée d’une vingtaine de professionnels dédiés qui possèdent ensemble plusieurs décennies d’expérience dans un large éventail de disciplines.

La grille d’allocation de Multi-Asset Solutions est le résultat d’un processus rigoureux et discipliné qui intègre :

  • des éclairages qualitatifs, tenant compte des perspectives macroéconomiques, des opinions sur le cycle économique et des opportunités de marché, tant systématiques que spécifiques ;
  • une analyse quantitative qui considère les inefficiences du marché, des modèles intra et interclasses d’actifs, ainsi que des stratégies directionnelles et de valeur relative ;
  • des réunions consacrées à la stratégie et un dialogue continu entre les équipes de recherche et d’investissement, qui leur permettent de confronter leurs points de vue pour élaborer et valider les opinions d’allocation d’actifs de l’entreprise.

Au 30 septembre 2024

Le Programme Market Insights fournit des données et des commentaires détaillés sur les marchés financiers internationaux sans aucune référence à des produits d’investissement. Conçu comme un outil permettant aux clients d’appréhender les marchés et d’accompagner leur prise de décision en matière d’investissement, le programme examine les répercussions des statistiques économiques actuelles et de l’évolution des conditions de marché.

Dans le cadre de la réglementation MiFIDII, les programmes JPM Market Insights et JPM Portfolio Insights sont des outils de communication marketing et ne relèvent pas des obligations de la MiFIDII et du MiFIR spécifiquement liées à la recherche en investissement. Par ailleurs, les programmes JPM Market Insights et JPM Portfolio Insights ne constituant pas une recherche indépendante, ils n’ont pas été préparés conformément aux obligations légales destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissement et ne sont soumis àune aucune interdiction de négociation en amont de la diffusion de la recherche en investissement. Il s’agit d’un document de communicationfourni à titre purement informatif. Il est à caractère éducatif et n’a pas vocation à être considéré comme un conseil ni comme une recommandation à l’égard d’un produit d’investissement, d’une stratégie, d’une caractéristique de placement ou à toute autre fin dans une quelconque juridiction, ni comme l’engagement de J.P. Morgan Asset Management ou de l’une de ses filiales à participer à l’une des transactions mentionnées. Les exemples cités sont d’ordre générique et hypothétique, et sont fournis à titre d’illustration uniquement. Ce document ne comporte pas d’informations suffisantes pour étayer une décision d’investissement et nous vous conseillons de ne pas le considérer comme base d’évaluation d’un investissement dans des titres ou produits financiers. En outre, il est conseillé aux utilisateurs de procéder à une évaluation indépendante des conséquences juridiques, réglementaires, fiscales, de crédit et comptables et de déterminer, avec l’aide de leur propre conseiller, si les investissements mentionnés dans le présent document sont adaptés à leurs objectifs personnels. Les investisseurs doivent s’assurer de disposer de toutes les informations existantes avant de prendre leur décision. Toute prévision, donnée chiffrée ou technique et stratégie d’investissement évoquée est présentée à titre d’information exclusivement, sur la base de certaines hypothèses et des conditions de marché actuelles. Elles sont soumises àmodification sans préavis. Toutes les informations présentées sont considérées comme exactes à la date de rédaction, mais aucune garantie n’estdonnée quant à leur exactitude et aucune responsabilité n’est assumée en cas d’erreur ou d’omission. Nous attirons votre attention sur le fait que la valeur des placements et le revenu que ces derniers génèrent sont susceptibles de fluctuer en fonction des conditions de marché et des conventions fiscales et il se peut que les investisseurs ne récupèrent pas la totalité des sommes investies. Les performances et les rendements passés ne préjugent pas des résultats actuels et futurs. J.P. Morgan Asset Management est le nom commercial de la division de gestion d’actifs de JPMorgan Chase & Co et son réseau mondial d’affiliés. Veuillez noter que si vous contactez J.P. Morgan Asset Management par téléphone, vos conversationssont susceptibles d’être enregistrées et contrôlées à des fins juridiques, de sécurité et de formation. Les informations et les données que vous nous communiquerez ponctuellement seront collectées, stockées et traitées par J.P. Morgan Asset Management dans le respect de la Politique de confidentialité www.jpmorgan.com/emea-privacy-policy. Ce document est publié par JPMorgan Asset Management (Europe) S.àr.l. European Bank & Business Centre, 6 route de Trèves, L-2633 Senningerberg, Grand Duché de Luxembourg, R.C.S. Luxembourg B27900, capital social EUR 10.000.000. Émis en France par JPMorgan Asset Management (Europe) S.à.r.l. –Succursale de Paris -14 place Vendôme, 75001 Paris -Capital social : 10 000 000 euros -Inscriteau RCS de Paris, n°492 956 693.

© Copyright 2025 JPMorgan Chase & Co. Tous droits réservés.
 

6dc862f1-147a-11f0-88ef-5f3eaf711f18